Le batch cooking, vous connaissez ? Très tendance, cette méthode d’organisation fait de plus en plus d’émules. Responsable et économique, elle consiste à préparer à l’avance les repas pour tous les soirs de la semaine.
Le batch cooking, qu’est-ce que c’est ?
Le terme “batch cooking” vient de l’anglais, « batch » signifiant “regrouper” ou “lot”. En clair, il s’agit de définir les menus de la semaine, de faire ses courses en conséquence et de consacrer de 2 à 3 heures le samedi ou le dimanche pour préparer plusieurs repas. Une fois que tout est prêt, nous n’aurez plus qu’à mettre les différents plats au réfrigérateur ou au congélateur et à les sortir le moment venu.
Des avantages multiples
Grâce à cette méthode, vous ne consacrerez plus que quelques minutes à la préparation de chaque dîner. Outre ce précieux gain de temps, vous dépenserez moins car vous vous limiterez à acheter ce dont vous avez réellement besoin et vous profiterez de repas variés et équilibrés. Certes il vous faudra un petit peu de temps pour vous adapter et vous organiser. Mais une fois que vous en aurez pris l’habitude, vous ressentirez un grand soulagement et gagnerez en sérénité.
De la théorie à la pratique
Vous êtes prêt(e) à vous lancer mais vous avez besoin d’un petit coup de pouce ? Pas de souci ! Il existe une multitude de livres et de sites consacrés au batch cooking qui proposent des exemples de recettes et vous aident à tout mettre en œuvre.
Je vous recommande particulièrement le site Cuisine Addict qui présente des menus en fonction des saisons, avec listes de courses et déroulés, parfois sous forme de vidéos.
Si vous devenez accro, vous pouvez également suivre chaque dimanche, à 10h30 sur Téva, l’émission « Cuisinez en 2 heures pour toute la semaine », présentée par la pétillante Justine Piluso, ancienne candidate de Top Chef.
Fifty Community est très heureux d’accueillir une nouvelle contributrice, Ariane, passionnée de cinéma. Blogueuse, journaliste, deux fois membre du jury du Grand Prix du Cinéma Elle Magazine, invitée à l’émission Le Cercle sur Canal +…, elle nous dévoile une liste de plateformes proposant des films de qualité gratuitement ou à des prix abordables.
En ces temps de (re)confinement, pas question de se priver de cinéma ! Vous pourrez découvrir de véritables bijoux, chez vous, confortablement installé(e) devant votre téléviseur, sur l’une des plateformes suivantes :
Profitons de cette nouvelle parenthèse pour parfaire notre cinéphilie… en attendant de pouvoir à nouveau fréquenter les salles obscures, bientôt, on l’espère. Et que vive le cinéma !
Le film d’Ariane, le blog 100 % cinéma
N’hésitez pas à suivre Le film d’Ariane sur les réseaux sociaux (facebook et instagram). Ses critiques de films sont tout simplement une merveille d’intelligence, de sensibilité et de professionnalisme.
« Le film d’Ariane est une page pour partager mes émotions de cinéma : films à l’affiche, reprises, expositions, festivals, événements autour du cinéma, actualités, coups de cœur et coups de gueule »
Vous préparez vos prochaines vacances et envisagez de partir en Europe ou plus loin ? Fifty Community a mené l’enquête pour connaître les meilleurs moments pour réserver un vol. Vous pourrez ainsi réaliser de substantielles économies sur de nombreuses destinations.
Réserver au bon moment peut vous permettre d’économiser jusqu’à 50 % sur le prix des vols ! Voici quelques astuces.
S’y prendre à l’avance
Pour les voyages européens, acheter ses billets d’avion
environ trois mois à l’avance est suffisant. En ce qui concerne les voyages
internationaux, le meilleur moment se situe en moyenne à 60 jours du départ.
Réserver plutôt le jeudi matin
L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt ! L’idéal pour réserver un vol au prix le plus bas est statistiquement le jeudi matin, entre 6h30 et 8h. Il faut savoir que les prix augmentent progressivement du vendredi jusqu’au mardi et commencent à baisser le mercredi. Donc, pour faire de bonnes affaires, évitez d’acheter vos billets d’avion le week-end. C’est en effet la période durant laquelle les sites des transporteurs et comparateurs de prix sont les plus consultés et font exploser les tarifs.
Partir un mardi
Le jour de la semaine où vous déciderez de vous envoler est également très important : le mardi est le meilleur jour pour partir en vacances. En revanche, évitez de partir le dimanche, jour de départ le plus cher.
Changer d’ordinateur pour passer commande
Dernière astuce : avant de finaliser votre commande, effectuez vos recherches depuis un ordinateur différent. Votre adresse IP étant reconnue, les prix peuvent augmenter si vous consultez régulièrement les mêmes offres.
Si cet article vous a été utile ou si vous aussi vous avez quelques bons tuyaux à partager, n’hésitez pas à laisser un commentaire.
La récente campagne de mobilisation de l’ADEME pour l’allongement de la durée de vie des objets, intitulée « Nos objets ont plein d’avenirs », est l’occasion de rappeler les différents choix qui s’offrent à nous pour consommer autrement.
Pourquoi les objets devraient-ils forcément être achetés neufs alors qu’ils peuvent être empruntés, loués ou achetés d’occasion ? Pourquoi faudrait-il les jeter alors qu’on pourrait les réparer, les donner, les revendre ou les échanger ?
Vendre
Le marché de l’occasion est depuis quelques années en plein
essor. Il devrait peser 50 milliards d’euros d’ici 2022 au niveau mondial !
En témoigne la croissance considérable enregistrée par des
sites tels que Le bon coin, e-Bay…
Selon une étude du Crédoc, 48 % des Français ont acheté
des biens d’occasion sur Internet en 2017, contre 27 % en 2007.
Alors n’hésitez pas à vendre vos objets, quels qu’ils soient (téléphone, ordinateur, jouet, meuble, vêtement, lave-linge…), pour leur donner une seconde vie. Vous gagnerez un peu d’argent et vous participerez à la réduction des déchets.
Pour mettre toutes les chances de votre côté si vous voulez vider vos placards de robes, pantalons, chemises, sacs…, je vous invite à lire (ou à relire) mon article « Comment bien vendre ses vêtements sur Internet ? ».
Réparer plutôt que racheter
Bon nombre d’objets peuvent faire l’objet
d’une réparation. Avant de vous précipiter sur les promos en ligne pour
remplacer votre lave-linge qui n’essore plus tout à fait comme avant,
renseignez-vous pour savoir s’il ne suffit pas d’une petite intervention d’un
spécialiste de l’électroménager pour qu’il reparte de plus belle et dure encore
quelques années.
Des sites tels que Murfy offrent la possibilité d’avoir un diagnostic sûr et de faire réparer votre appareil à votre domicile et à moindre coût. Si d’aventure il n’était pas réparable, Murfy propose à la vente des appareils recyclés.
Pour vous aider et vous accompagner dans le passage à l’action, le site longuevieauxobjets.gouv.fr propose des tutoriels, des outils et des solutions pour diagnostiquer les pannes de nombreux appareils. Il fournit également un annuaire très complet donnant accès aux coordonnées d’un grand nombre de professionnels dont l’activité permet d’allonger la durée de vie de vos objets.
Plutôt que d’acheter, pourquoi ne pas louer
un objet si vous savez pertinemment que vous ne vous en servirez
qu’occasionnellement ?
La location revient dans ce cas moins cher et elle aide à réduire l’empreinte environnementale. A l’heure actuelle, on peut louer à peu près tout ce que l’on veut. Dans les domaines du bricolage, du jardinage, des loisirs… Quelques exemples : un nettoyeur haute pression, une ponceuse, un taille-haie ou une tronçonneuse, une scie sauteuse, un échaffaudage, un pistolet à peinture, une shampoineuse pour les sols, du matériel de ski, un coffre pour toit de voiture pour partir en vacances…
Là encore, il existe pléthore de sites ou de magasins pour trouver ce dont vous avez besoin ponctuellement. En voici quelques-uns :
Autre solution : échanger entre
particuliers. Le troc a le vent en poupe et l’idée a fait déjà ses preuves. Nombre
de personnes ont trouvé leur bonheur à deux pas de chez eux.
Connaissez-vous Ecosia ? Si ce n’est pas le cas, je
vous invite à découvrir ce moteur de recherche solidaire allemand qui reverse
80 % de ses bénéfices dans un programme de reforestation présent dans le monde
entier.
Créé en 2009 par Christian Kroll à la suite d’un voyage au Brésil où
il a constaté les ravages causés par la déforestation, ce moteur de recherche a
déjà permis de planter plus de 70 millions d’arbres. Au Burkina Faso, au Pérou,
en Tanzanie, à Madagascar et dans douze autres pays, en partenariat avec des
associations locales.
Comment ça marche ?
Ecosia propose un service gratuit de recherche. Les résultats affichés sont
générés par Bing. Via des encarts publicitaires, il affiche des liens qui
génèrent des revenus à chaque clic. En moyenne, un arbre est planté pour 45
recherches.
Un geste pour la planète
Certes Ecosia est un petit peu moins performant que certains de ses
concurrents (des internautes ont constaté quelques bugs). Mais en passant par
lui, vous ferez un geste pour la planète !
De plus, l’entreprise neutralise 100 % des émissions de CO2
de ses serveurs, de son infrastructure, de ses locaux et des appareils de ses
utilisateurs, à travers un projet de compensation carbone géré par son
partenaire myclimate.
Créé il y a un an, le site d’e-commerce La Fourche propose des marques bio jusqu’à moins 50 % ! Comment ? En n’appliquant aucune marge. Il se rémunère en faisant payer un abonnement aux particuliers qui passent commande.
Les ventes de produits biologiques sont en forte hausse, tant les Français font de plus en plus attention à ce qu’ils mettent dans leur assiette. Par contre, le bio reste assez cher : jusqu’à 70 % de plus que les produits conventionnels. Les raisons : des coûts de production élevés, mais aussi et surtout des marges conséquentes pratiquées par les magasins.
De
20 à 50 % moins chers
Sensible aux questions environnementales, Lucas Lefebvre, trentenaire averti, s’est lancé, avec deux de ses camarades d’HEC,Boris Meton et Nathan Labat, dans la vente de produits bio accessibles à (presque) toutes les bourses.
La Fourche propose ainsi des produits non périssables de qualité, à des prix de 20 à 50 % inférieurs à ceux des grandes enseignes ou des magasins spécialisés. Et ceci, dans les cinq catégories suivantes : alimentation-épicerie, vrac, beauté, bébé et produits d’entretien.
Quelques exemples :
250 g d’amandes décortiquées en vrac à 3,20 euros,
Un liquide vaisselle au Calendula bio d’un litre à 1,89 euros,
Du chocolat noir bio 70 % à la Fleur de Sel (100 g) à 1,89 euros…
Comment ça marche ?
Pour pratiquer des prix bas, le site n’applique aucune marge. Par contre, il se rémunère en faisant payer aux particuliers un abonnement annuel de 69 euros qui leur permet d’accéder à l’offre.
Pour
commencer, on peut bénéficier d’un essai gratuit de 30 jours, annulable à tout
moment.
La livraison est gratuite à partir de 49 euros d’achat et est assurée dans toute la France.
Des
engagements éthiques et solidaires
La
Fourche propose essentiellement des produits locaux et privilégie
les marques les plus engagées pour la santé et la protection de l’environnement.
Pour
aller jusqu’au bout de la démarche, les colis sont garantis sans plastiques et
faits de cartons recyclés.
Enfin,
le site travaille avec des personnes handicapées en ESAT et offre une adhésion
à un foyer en situation de précarité pour chaque adhésion achetée.
Personnellement, je n’ai pas encore testé ce site, mais des amis m’en ont dit le plus grand bien.
En ces temps parfois difficiles, où la baisse du pouvoir d’achat est dans tous les esprits, voici une appli vraiment utile. Elle permet aux particuliers d’acquérir à moindre coût des produits encore propres à la consommation et à des professionnels d’écouler leurs invendus.
Chaque année, 1/3 de la production mondiale de nourriture
est jetée. Ce chiffre est tout simplement effrayant.
Selon l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie), nous gaspillons chaque année en France 10 millions de tonnes d’aliments, soit 20 tonnes par minute, 317 kg chaque seconde…
Manger anti-gaspi à petit prix
Née au Danemark et développée en France depuis 2016, l’application Too Good To Go permet à chacun d’entre nous de s’engager contre le gaspillage alimentaire afin de donner l’opportunité à toute nourriture d’atteindre sa destinée : celle d’être mangée.
To Good To Go regroupe à ce jour plus de 6 000 commerçants sur toute la France.
Outre les petits commerces (boulangeries, primeurs…),
l’application référence des restaurants, des hôtels, des enseignes de restauration
rapide (Pomme de Pain, Exki, Sushi Shop, Flunch…) et de grande distribution
(Monoprix, G20, Leader Price…). Même des fleuristes !
Grâce à To Good To Go, environ 5 tonnes de nourriture sont sauvées chaque jour, ce qui correspond à plus de 10 000 paniers d’invendus récupérés ! Soyons précis : les invendus ne sont ni plus ni moins que les produits frais que les commerçants ne peuvent plus vendre le lendemain (viennoiseries, plats du jour…).
Des paniers bien garnis entre 2 et 8 euros
Même dans ma campagne (à 45 km au sud de Paris), il existe
des commerçants qui jouent le jeu. Et ça marche !
Un exemple : un boulanger situé à 5 km de chez moi propose
régulièrement des paniers bien remplis de viennoiseries, de pain, de sandwichs…
à 3,99 euros.
D’un commerçant à un autre, les prix varient entre 2 et 8
euros pour un panier bien garni. On ne sait pas à l’avance ce qu’il renfermera.
C’est la surprise !
Pour le moment, les offres sont beaucoup plus importantes en
région parisienne qu’en Province. Mais l’idée fait son chemin et se développe
un peu partout en France.
Comment ça marche ?
Le principe est simple. Vous entrez dans l’appli la ville ou
l’endroit où vous vous trouvez. Grâce à la géolocalisation, des offres s’affichent
aussitôt chez les commerçants partenaires, en précisant la distance qui vous sépare.
Vous passez commande en un clic et vous allez chercher votre
panier surprise directement chez le commerçant choisi, à l’heure fixée. C’est généralement
en fin de journée, avant la fermeture du magasin.
Au détriment des plus démunis ?
Certains penseront que ce commerce se fait au détriment des
plus démunis et des associations venant en aide aux foyers les plus modestes. Oui
et non.
Rappelons que, depuis 2016, une loi oblige
les grandes surfaces à donner leurs invendus à des associations. La France est
pionnière dans ce domaine !
La
fondatrice de To Good to Go, Lucie Basch, précise à ce sujet que son appli est
plutôt complémentaire car les associations « ne peuvent passer dans tous
les supermarchés et chez tous les commerçants ». Et d’ajouter : « Il y
a largement assez de gaspillage alimentaire pour en faire profiter un maximum
de personnes.»
S’engager pour une bonne cause, faire un geste pour la planète
A Paris, bon nombre d’étudiants (mais pas que) aux faibles revenus en profitent. L’un d’eux explique ses motivations : « En utilisant l’application, je fais un geste pour l’environnement. J’évite que des produits encore consommables finissent à la poubelle. Et cela me permet d’économiser sur mon budget consacré à mes dépenses alimentaires ».
Cet article vous a plu ou vous avez déjà utilisé cette appli et souhaitez partager votre expérience ? Alors réagissez en laissant un commentaire ci-dessous.
Vendre sa maison ou son appartement n’est pas une décision facile à prendre, même si c’est pour s’orienter vers de nouvelles aventures ! Parfois, on vend aussi parce que l’on n’a pas le choix (séparation, deuil, mutation professionnelle…) et c’est là que les choses se compliquent.
Décider de mettre en vente un bien auquel on demeure attaché, porteur de souvenirs, où l’on a vécu des moments forts émotionnellement, nécessite un effort de détachement, de mise à distance souvent malaisé, surtout lorsque l’on doit gérer cette étape seul(e).
Certes, la première démarche consiste à confier son
bien à un professionnel de l’immobilier qui va pouvoir en estimer le juste prix
et organiser les visites. Mais il existe, en parallèle, une solution rapide et
facile à mettre en œuvre lorsque vous décidez de vendre : le home staging.
Embellir le bien
Littéralement, home staging signifie « mise en scène de l’intérieur ». Autrement dit, il s’agit d’embellir votre bien, de le décorer et de le mettre en valeur comme vous le feriez pour la vente de votre voiture. Les futurs acquéreurs pourront ainsi mieux se projeter et vous aurez plus de chances de déclencher le coup de cœur dès la première visite.
Il est donc important d’investir un peu d’argent pour rafraîchir votre bien avant sa vente (couleurs neutres et harmonieuses, désencombrement, pièces meublées et bien rangées, jardin bien entretenu, électricité et plomberie aux normes…) plutôt que de se retrouver, au bout d’un an ou plus, obligé de baisser votre prix pour espérer trouver preneur.
En réel ou en virtuel
Lorsque ce budget travaux fait vraiment défaut, une autre solution s’offre à vous : le home staging virtuel. Ce dernier intervient au début du processus de mise en vente, en particulier au moment de la publication des photos.
Le bien est ainsi présenté dans son état actuel, puis, en vis-à-vis, dans son état projeté après travaux de rafraîchissement. Les volumes sont ainsi préservés et révélés, les échelles respectées, seuls la décoration et l’agencement sont modifiés.
Réussir à se projeter
Avec le home staging virtuel, les acheteurs peuvent se projeter dans leurs futurs espaces, ils peuvent aussi se détacher du style décoratif actuel et évaluer ainsi tout le potentiel du bien visité. Lorsque le bien est vide, ils se rendent mieux compte des volumes et des fonctions attribuées à chaque pièce.
En Angleterre, aux États-Unis ou en Suède, plus de 80 % des biens se vendent après home staging. Et la technique a fait ses preuves !
Lorsque l’on sait que les acheteurs se décident dans
les 90 secondes suivant le début de la visite, le home staging, même virtuel,
constitue un outil d’aide à la vente indéniable. Alors, à vous de jouer !
Trier ses déchets est devenu une nécessité pour préserver notre planète. Sensible à toutes les questions qui touchent de près ou de loin l’environnement, je partage avec vous les gestes à adopter de toute urgence.
Au niveau individuel, le tri des déchets peut paraître un peu désuet, voire inutile et l’on peut se demander si les efforts que l’on fait servent vraiment à quelque chose à l’échelle planétaire (une goutte d’eau dans un océan ?). C’est tout le contraire. Si tout le monde triait ses déchets avec conscience et responsabilité, on pourrait récupérer des tonnes et des tonnes de matières pour les recycler, les traiter et ne rejeter que ce qui ne pourra plus du tout servir.
A la maison
Bien s’informer est une première étape. En 2022, toute la France sera logée à la même enseigne : consignes identiques, bacs de même couleur. En attendant, on peut trouver toutes les informations utiles auprès de sa commune pour bien connaître les modalités du tri de ses déchets.
Tout ne se récupère pas. Par exemple et contrairement à une idée reçue, les objets en plastique (gobelets, fourchettes et compagnie) ne se recyclent pas. Si vous avez un doute, vous pouvez consulter l’appli « Guide du tri » qui vous renseignera.
L’idéal est de s’équiper d’une poubelle de tri avec trois compartiments. On en trouve un peu partout. Et on en profite pour sensibiliser tous les membres de la famille !
Inutile de tout nettoyer. Il suffit que les déchets soient vides et jetés en vrac (et surtout pas dans un sac ni imbriqués les uns dans les autres).
Si vous avez un composteur, c’est parfait ! Vous pourrez y déposer toutes sortes de déchets (voir mon article sur l’éco-jardinage). Depuis que j’en possède un, j’ai réduit d’un bon tiers mes déchets organiques et je récupère le compost comme engrais naturel pour mon jardin.
Pour les équipements, petits et grands, il existe de nombreux points de collecte Eco-systèmes : en déchèterie, dans des magasins, supermarchés… Tous les appareils électriques et électroniques se recyclent : ancien portable, vieil ordinateur, brosse à dent électrique, sèche-cheveux, imprimantes…
Avant de vous en débarrasser, pensez à retirer les piles, les cartouches d’encre… c’est-à-dire tout ce qui ne peut pas être recyclé.
Les piles, les cartouches d’encre et les ampoules électriques usagées sont à déposer dans des bacs spécialement conçus que l’on trouve un peu partout maintenant.
Les médicaments aussi peuvent être récupérés. Il suffit d’apporter les boîtes entamées ou périmées à la pharmacie. C’est l’association Cyclamed qui se charge de les collecter et de les recycler.
Enfin, une association, dénommée Bouchons d’amour, récupère les capsules de boissons en plastique, les vend à un recycleur et finance des bonnes œuvres. Il existe de nombreux points de collecte.
Quant aux vêtements, même les pulls troués, des chaussures usées, un pantalon taché, des chaussettes dépareillées… peuvent être récupérés et recyclés. Là aussi, les points de collecte ne manquent pas. Pour vous aider à les trouver, consultez le site très bien fait de La Fibre du tri.
Certes, tout cela demande quelques efforts et un peu de temps. Mais quand on a pris le pli, cela devient simple et automatique.
En dehors de chez soi
Le tri hors de chez soi laisse encore à désirer.
Dans la mesure du possible, rapportez chez vous les déchets recyclables pour les trier. Oui, je sais, ce n’est pas toujours évident. Mais prenons l’exemple du pique-nique du dimanche : au lieu de tout jeter dans la poubelle située non loin de votre lieu de détente, remettez dans votre sac les serviettes en papier, les emballages, les bouteilles vides… Vous repartirez de toute façon plus léger.ère qu’à l’aller !
Si rien n’est prévu dans votre entreprise (alors qu’elle a l’obligation de trier depuis 2016 !), regroupez les déchets recyclables dans un sac (recyclable lui aussi si possible !). Bouteilles d’eau, canettes en métal, journaux, papiers… et ramenez-les à la maison pour faire le tri.
A savoir : il vaut mieux ne pas déchirer les papiers ni les froisser. Le tri en sera simplifié. De même, plus un papier est grand, plus il est facilement recyclable. Des papiers trop petits risquent en effet de ne pas passer dans la chaîne du tri.
Au bureau toujours, pensez à mettre dans la corbeille de votre ordinateur (puis de la vider !) les mails et photos qui ne vous sont plus d’aucune utilité. Certes, ils ne seront pas recyclés. Mais si vous faîtes régulièrement le « ménage », ils seront détruits et c’est une très bonne chose pour l’environnement car les serveurs nécessaires au stockage de ces données consomment énormément d’électricité.
Et en vacances, on y pense aussi. On continue d’adopter les bons réflexes !
Si vous voulez aller plus loin, je vous recommande de consulter le site de l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie) qui fourmille d’idées et présente de nombreuses initiatives tant collectives qu’individuelles.
Vous l’aurez compris, j’adore voyager ! Et j’ai envie de vous faire partager mes bons plans. Voici ma sélection de sites de voyages, avec leurs avantages et leurs travers. Bien sûr, tout ceci n’engage que moi.
Lorsque je cherche une destination pour des vacances, je consulte plusieurs sites et je compare les offres du moment. En général, se dégagent chaque année des tendances, en fonction du climat, du contexte politique… Cette quête de voyage peut prendre un peu de temps mais elle est nécessaire pour s’assurer qu’on a bien trouvé le meilleur plan !
Vérifier et comparer
Bien évidemment, tout dépend des goûts de chacun, du budget dont on dispose. Mais si, comme moi, vous avez soif de découvertes, voici mes recommandations. Lorsque j’ai choisi une destination et une offre de voyage, mon premier réflexe est de vérifier que les dates que j’ai choisies tombent à la bonne période dans le pays sélectionné. Ma référence en la matière est le site quandpartir.com.
Je consulte également les avis sur l’hébergement que j’ai sélectionné sur le site tripadvisor.fr. A prendre et à laisser, selon ce que l’on recherche et privilégie.
Un petit conseil : si vous avez des contraintes de travail ou ne pouvez partir en dehors des vacances scolaires, évitez à tout prix la période du 15 juillet au 15 août. Si vous pouvez vous envoler quand bon vous semble, alors vous serez forcément gagnant.e en termes de tarifs.
Voyageprive.com : des offres luxueuses à prix attrayants pour des destinations lointaines
Fidèle depuis des années à ce site, j’ai pu grâce à lui découvrir des contrées plus ou moins lointaines à des tarifs raisonnables : Cap Vert, Zanzibar, Afrique du Sud, Sri Lanka, Bali… Un exemple de prix : une semaine en demi-pension dans une réserve en Afrique du Sud, avec avion AR, transferts aéroport pour 1 100 euros par personne, à la mi-août.
Les offres sont claires et précises, tous les tarifs sont affichés en fonction des options choisies. Simple et efficace. Les frais de dossier sont en supplément (environ 25 euros). Pas de mauvaise surprise à l’arrivée.
Mais attention, tout se passe bien avec ce site lorsque vous cliquez et payez, sans rien demander de plus. Si par malheur vous voulez modifier quoi que ce soit une fois que votre voyage a été validé (et le montant prélevé !), les ennuis commencent.
Voyageprive.com n’est pas à proprement parlé une agence de voyages. Ce site ne joue que les intermédiaires entre vous et des prestataires externes. Donc si un problème survient, on va vous balader, vous donner parfois des informations contradictoires. Le service client, certes très aimable, est assez défaillant. Et il a tendance à se défausser de ses responsabilités. Sachez tout de même qu’en cas de problème, c’est lui et lui seul qui est responsable, selon l’article L211-16 du code du tourisme.
Expedia et agence-voyage.oui.sncf.com pour des week-ends en Europe
Pour des week-ends découvertes en Europe (Rome, Budapest, Prague…), je privilégie les deux sites suivants : expedia.fr et agence-voyage.oui.sncf.com (anciennement voyagesncf.com).
Ce qui m’agace fortement chez Expedia, c’est le fait que les tarifs changent à chaque nouvelle connexion. A la hausse bien entendu… Une petite astuce si vous hésitez et regardez à plusieurs reprises les offres de voyages sur ce site, c’est de changer d’ordinateur pour passer commande une fois que vous vous êtes décidé.e. Le choix des hôtels est très vaste. Même trop parfois pour une même destination. Mais on peut filtrer les recherches (par catégorie d’hôtel par exemple). Petit bémol : vous devez entrer les dates de votre séjour dès le début et vous n’avez pas la possibilité de comparer les tarifs à d’autres dates, sauf à faire une nouvelle recherche. Sinon les prix sont clairement affichés. Et le service client est compétent !
Quant au site de la « sncf », il est assez bien fait et propose des tarifs attractifs pour des destinations européennes. Et là, les prix restent fixes !
Travelzoo : les propositions les plus intéressantes du moment
Le site travelzoo.com propose une sélection des meilleures offres du moment (séjours, hôtels, billets avion, locations et croisières) et vous redirige vers les sites concernés. Il a également l’avantage d’émettre des recommandations. J’y vois un intérêt particulier, celui d’avoir accès à des voyages, des destinations auxquels vous n’auriez pas pensé initialement et de bénéficier du meilleur rapport qualité-prix.
Voilà pour ma petite sélection. Je ne parle que de ceux que j’ai testés (et approuvés !) jusqu’à présent. Il existe bien évidemment beaucoup d’autres sites, mais mieux vaut se limiter à quelques-uns quand vous faites des recherches. Sinon vous allez y passer un temps fou et vous risquez de ne pas savoir quel voyage choisir.
A vous de jouer maintenant ! Et n’hésitez pas à me faire part de vos propres expériences, de vos bons plans en me laissant un commentaire ci-dessous.